Si les parcs bruxellois centraux sont bien propres – bien tendus, bien taillé- donc peu intéressants pour un naturaliste, ceux de la périphérie sont nettement plus riches. C’est le fruit des années de gestion différenciée, qui permet l’installation des plantes, insectes, oiseaux,,, toutes sortes de forme de vie dans ces milieux.
Comme ces grèbes huppés qui construisaient leur nid flottant dans le parc de Pede (Ouest Bruxelles).
Quant à ce morillon vu sur l’étang de bois de Soigne, il se retournait pour se toilleter durant de longues minutes.
D’autres espèces étaient là, la plupart en pleine période de reproduction. Je sentais le dynamique de la vie, dans ces endroits pourtant fortement modifiés par l’homme.